Agora o Kraus em novo: Je crois entendre encore.
(operabeauty)
À cette voix quel trouble agitait tout mon être?
Quel fol espoir? Comment ai-je cru reconnaître?
Hélas! devant mes yeux déjà, pauvre insensé,
La même vision tant de fois a passé!
Non, non, c'est le remords, la fièvre, le délire!
Zurga doit tout savoir, j'aurais dû tout lui dire!
Parjure à mon serment, j'ai voulu la revoir!
J'ai decouvert sa trace, et j'ai suivi ses pas!
Et caché dans la nuit et soupirant tout bas,
J'écoutais ses doux chants emportés dans l'espace.
Je crois entendre encore,
Caché sous les palmiers,
Sa voix tendre et sonore
Comme un chant de ramier!
O nuit enchanteresse!
Divin ravissement!
O souvenir charmant!
Folle ivresse! doux rêve!
Aux clartés des étoiles,
Je crois encore la voir,
Entr'ouvrir ses longs voiles
Aux vents tièdes du soir!
O nuit enchanteresse! etc
Charmant souvenir!
(Tirado daqui)
E o dueto Au fond du temple saint.
(alfredotrujillo)
Querido valkirio, saludos desde Barcelona.
ResponderEliminarSin duda Kraus e posiblemente un dos mellores Nadir que deu a historia do canto.
A diferencia de outros cantantes, el canta esta romanza a tono e sen façer falsete.
Sempre e unha delicia escoitalo e tamen velo. Precisamente esta e unha de miñas 5 ou 6 arias favoritas de tenor.
Recibe un forte abrazo.
Olá Werther. Gracias por tu visita al Valkirio. Saludos.
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